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19/08/2014

Vrac de vrac # 17

Quatre cadeaux pour oublier un été pluvieux :

Une lettre de Georges Brassens : "Tu es l'ami du meilleur de moi-même"

Une excellente nouvelle (ceusses qui ont lu mon dernier recueil comprendront l'importance que revêt cette info à mes yeux).

Une interview de Alexandre Sokourov : "Le cinéma, c'est le royaume des fainéants"

& pour la rubrique "R.I.P." :

 

17/09/2013

CabaretS PoétiqueS (+ Marathon Poétique !)

Deux Cabarets et un Marathon, tous les trois  poétiques, c'est ce qui attend  les amateurs lyonnais dans les quinze jours qui viennent !

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Ce dimanche 22 septembre, Place Sathonay, à Lyon, nous ne serons pas moins d'une trentaine de poètes à tenter un drôle de marathon poétique de 11h à 18h30. Dans le cadre du "Forum des langues", chacun de nous lira, non ses propres textes, mais ceux de poètes étrangers essentiels à ses yeux. Ses textes, nous les liront en V.F et en V.O œuf corse ! Pour ma part, je partagerai du Leonard Cohen et du Gary Snyder.

A 18h30, s'ouvrira un Cabaret Poétique en plein air, avec tous les risques qui se rattache à l'exercice.

UNE SEMAINE PLUS TARD, le dimanche 29 septembre, ce sera la reprise officielle du Cabaret Poétique au Périscope (là où ce rendez-vous est né). Ayant publié deux recueils depuis le Cabaret de juin, je ne me suis pas gêné pour me programmer (pas le genre à me cacher derrière mon petit doigt). La moyenne d'âge du Cabaret de ce 29 septembre devrait tourner autour des 35 ans.

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Comme d'hab', l'entrée est gratuite !

25/08/2013

En attendant "FIRE NOTICE" # 4

« Il voulait toucher les gens comme un magicien,  pour les transformer ou pour leur faire mal, pour laisser sa marque sur eux, pour les embellir. Il voulait être l’Hypnotiseur qui se garde bien de tomber endormi lui-même. Il voulait embrasser les yeux ouverts. »

Leonard Cohen, « Beauty at Close Quarters ”

 

"FIRE NOTICE" ???

 

07/05/2013

"Je n'ai jamais dit que j'étais un grand poète..."

 

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« Je ne savais pas qui j’étais, où j’allais, ce que signifiait le monde, de quoi les femmes étaient faites. La seule chose que je savais, c’est qu’il me fallait garder des traces de cette petite vie qui était la mienne (…) Je n’ai jamais dit que j’étais un grand poète ; je n’ai jamais essayé de faire croire que j’étais autre chose qu’un poète mineur et un faiseur de chansons. Je ne sais même pas quel nom coller à cette activité. Laissons aux spécialistes le soin de donner les appellations. J’ai seulement dit que j’avais tout consigné. Tout est là. J’ai accompli exactement ce que je m’étais proposé au départ, témoigner de mon voyage sans jamais porter de jugement. Mais le voyage est là. On ne peut pas en douter. »

Leonard Cohen

 

 

 

19/03/2009

SEPARATION

 
Paroles (et traduction) ICI.

12/07/2007

MIRACLE À L’HÔTEL-DIEU

 Info intéressante pour mes lecteurs lyonnais : à l’hôtel-Dieu, où Rabelais a pris quelques risques en disséquant des cadavres, où je me suis fait vampiriser d’innombrables fois, se tient deux fois par an une grande braderie aux livres. La bibliothèque  de l’établissement hospitalier vide ses étagères (il s’agit de faire de la place pour tous les Alexandre Jardin et Marc Levy à paraître). C’est ainsi qu’il y a quelques semaines, pour CINQUANTE CENTIMES D’EUROS, j’ai déniché un exemplaire des « Perdants magnifiques » de Leonard Cohen (chez 10/18). À  dix euros, j’aurais acheté cette merveille défraîchie.

Donc, bref, en résumé, je me retrouve avec DEUX exemplaires de « Beautiful losers ». Pas l’intention de les collectionner. Le/la premier(e) qui réagit, je lui envoie ma trouvaille.

 
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12/06/2007

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Il choisit une couleur qui s’appelait Tibetan Desire, ce qui l’amusa beaucoup, car il y voyait une complète contradiction dans les termes. 

« Les perdants magnifiques » de Leonard Cohen

13/02/2005

Beautiful losers

Leonard Cohen et ses « Perdants Magnifiques ». Quand il écrit le portrait de Catherine Tekakwitha, au milieu des années 60, a-t-il déjà versé dans le bouddhisme zen ? Sans doute pas. Il est amoureux de Nico, il la trouve la plus mystérieuse des reines avec ses réponses énigmatiques, son art de détourner une conversation de la façon la plus imprévisible… avant de s’apercevoir qu’elle est sourde comme un pot.

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